Crédit photo : Cerveau et psycho

La crise sanitaire a entraîné une crise économique dont beaucoup d’observateurs disent qu’elle sera pire que celle de 1929. Conséquence de ces prévisions apocalyptiques : nombre d’entreprises réduisent considérablement, voire gèlent leurs dépenses. Cette tendance à l’attentisme est compréhensible, mais elle est dangereuse à court terme. Face à cette situation, nous préconisons une approche qui a montré son efficacité dans toutes les crises, et qui repose sur 2 piliers : investir sur la base de données fiables, et s’entraider.

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Toute crise est par nature anxiogène. A fortiori quand, comme celle du covid 19, on ne l’a pas vue venir. Le réflexe qui vient instantanément est de se protéger et de faire des anticipations. Dans ces circonstances, le cash est plus que jamais roi, tout est fait pour ne pas en dépenser et au contraire pour en encaisser. Cette attitude se justifie à très court terme : on observe, on analyse, afin de pouvoir prendre des décisions rationnelles. Mais à court-moyen terme, elle peut devenir suicidaire : si personne ne dépense, si personne ne consomme, si l’économie ne repart pas, les défaillances d’entreprises vont s’accumuler, et au bout du compte, les plus puissants n’auront qu’à se baisser pour ramasser à bas prix les plus faibles. Il est donc urgent de substituer à l’attentisme et au pessimisme du volontarisme et de l’optimisme.

II est temps d’investir dans des actions créant de la valeur

L’urgence économique impose de substituer au cercle vicieux de la méfiance et du repli sur soi un cercle vertueux permettant de survivre à la crise. A la méfiance, à la peur, il faut substituer la confiance et l’envie. De même qu’on investit en bourse parce qu’on a l’espérance que les résultats des entreprises seront meilleurs demain qu’aujourd’hui, l’enjeu de chaque entreprise aujourd’hui est de créer cette espérance. Qu’est-ce qui va faire que votre entreprise survivra demain ? Nous pensons que 2 axes sont essentiels  :

Je ne développerai pas ici le premier point qui est inhérent à chaque entreprise. En revanche, nous souhaitons partager quelques idées concernant l’engagement des salariés.

Les confinement a changé le rapport au travail des salariés

La première conséquence du confinement et du basculement soudain au télé-travail est que le rapport des français au travail a changé. Les salariés ont majoritairement aimé le télé-travail, même si après 2 mois passés en conf call et/ou en visio, certains rêvent de retrouver une vie de bureau “normale”. Les salariés ont soudain accédé à ce qu’ils demandent depuis que l’on fait des enquêtes sur leurs aspirations profondes : être autonomes, considérés comme des adultes responsables et non infantilisés. Par ailleurs, leur rapport au temps à changé : plus de temps avec ses proches, à faire la cuisine,  moins dans les transports. Aujourd’hui, les français veulent plus de bien-être au travail.

Dans le même temps, leur niveau de stress a augmenté. Dans un environnement incertain et a fortiori dangereux, enregistrer un pic de stress est une réaction de survie normale (et utile). Mais ce pic doit redescendre : le stress devient néfaste dès lors qu’il s’installe dans la durée, son accumulation est énergivore, elle ne facilite ni la concentration ni l’action, et elle entraîne des conséquences fâcheuses sur la santé (RPS). Il est donc urgent pour les entreprises de montrer à leur salariés qu’elles les ont entendu, et de considérer que leur bien-être est une fonction croissante de leur engagement et de leur performance.

La cohésion et l’entraide sont plus que jamais d’actualité

Lors du pic épidémiologique, nous avons assisté à ce qui se produit toujours lors d’une catastrophe naturelle : des initiatives de solidarité, d’entraide, y compris vis à vis de personnes qu’on ne connaît pas. L’Etat à montré l’exemple en soutenant concrètement les entreprises (prêts à 0%, prise en charge à 100% du chômage partiel, etc). Chapeau ! Au niveau personnel, nous avons pris soin de nous, pris soin des autres, et ça a marché. Re-chapeau ! La solidarité et l’entraide, ça marche.

Mais aujourd’hui que la crise sanitaire semble derrière nous, que l’on revient progressivement à la “normale”, la solidarité et l’entraide s’étiolent, alors même que le pic de crise économique n’est pas encore atteint. Si nous n’agissons pas, les défaillances d’entreprises seront aussi contagieuses qu’un virus. Notre point de vue est simple : n’attendons pas ce pic pour réagir, appliquons dès maintenant à nos entreprises ce qui a fonctionné au niveau humain : prenons soin de nos entreprises, prenons soin des autres entreprises. Entraidons-nous ! 

L’entraide aujourd’hui, concrètement

Chez ijustvalue, nous croyons à l’entraide, à la coopération, à l’intelligence collective. Nous pensons qu’un investissement raisonnable dans le bien-être des salariés permet aux entreprises de maximiser leur engagement, et donc leur performance. C’est pour cette raison que nous avons développé notre solution d’enquête QVT Valuesurvey.

Nous avons décidé d’aider les entreprises à piloter la reprise en mettant gratuitement à leur disposition cette solution. Nos enquêtes vous aideront à mesurer les niveaux de stress, de bien-être et d’engagement de vos salariés, elles vous fourniront des données fiables qui vous permettront d’identifier les actions à conduire pour optimiser votre management et votre organisation. 

Différentes formule sont possibles, de 1 mois d’enquête QVT offert à 50% de réduction sur un abonnement annuel. Nous souhaitons aussi favoriser l’entraide en proposant à chacun de nos clients de parrainer d’autres entreprises. Nos clients peuvent ainsi réduire considérablement le coût de leur investissement, voire gagner de l’argent pour les plus solidaires d’entre eux. Ce faisant, nous nous aidons mutuellement à surmonter la crise et à créer une histoire dont nous retirerons une fierté légitime.