L’évolution est impressionnante : en seulement 2 ans, on est passé de “la bienveillance, c’est pour les bisounours” à “la bienveillance, c’est super”. Wow !
C’est super, mais certains d’entre vous restent encore sceptiques sur la faisabilité de la mise en oeuvre de la bienveillance comme culture d’entreprise. Et dans le même temps, j’entends toujours autant de complaintes relatives à la course à la productivité, à la mauvaise ambiance, au management toxique et aux conflits qui démoralisent. Ceci explique cela.
J’ai donc décidé d’écrire cet article pour combattre ce scepticisme et ses causes en partageant avec vous des résultats concrets et une approche de mise en oeuvre :
Oui, il est possible d’instituer une culture de la bienveillance en entreprise. Oui, cela peut se faire simplement. Et oui, cela permet d’obtenir des résultats extraordinaires, tant sur le bien-être que sur la performance. Il suffit d’oser.
Ne laissez pas vos pensées négatives gouverner votre vie.
Il n’y a pas de fatalité. Pour pouvoir se projeter vers l’avenir avec une perspective heureuse, pour mieux vivre et non simplement subir et/ou survivre, nos deux principaux enjeux sont de créer les conditions de notre bien-être et de notre employabilité, donc de trouver plus de sens et de plaisir à travailler, et d’accroître notre compétitivité. Cela implique essentiellement de remettre en question nos idées reçues – c’est précisément ce qu’une culture de la bienveillance au travail permet d’atteindre – et de changer de paradigme.
Osez la bienveillance et le changement !
Oser la bienveillance, c’est plus simple qu’on ne croit : je ne connais aucun dirigeant qui n’ait souscrit à cette approche après, au maximum, 2 heures de discussion. Reste à oser le changement.
Qui dit changement dit souvent résistance au changement, réflexe humain tout à fait compréhensible car changer implique de sortir de sa zone de confort. Mais qui se sent vraiment confortable dans ce monde qui change de plus en plus vite en ce début de révolution industrielle ?
De fait, vaincre la résistance au changement est aussi plus simple qu’on ne croit : l’expérience montre qu’il suffit encore une fois d’au maximum 2 heures (1) pour susciter l’envie de changer, même aux plus réfractaires au changement.
En conclusion .. si vous voulez vous épanouir au travail, si la bienveillance est une notion qui vous parle, osez en parler au dirigeant de votre entreprise. Et que vous ayez un budget ou pas (1), n’hésitez pas à liker cet article s’il vous plaît : cela ne vous coutera rien, mais ça m’aidera certainement à développer mon entreprise 😉
(1) : une conférence de 2 heures suffit à enclencher une dynamique pour bien finir une année, ou bien en commencer une autre.
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